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Les tiques sont essentiellement présentes au printemps et à l’automne.C'est le plus souvent après une promenade qu'il est possible de trouver des tiques dans le pelage des chiens et des chats car elles vivent  dans les herbes hautes, les broussailles et les buissons. Lorsqu’un animal passe à proximité, elles vont s’accrocher aux poils et remonter vers la peau, pour se nourrir d'un "repas de sang". Le repas sanguin de la tique dure 2 à 3 jours. Après une morsure, la tique peut laisser une petite plaie de type piqûre sur la peau de l'animal, voire un petit granulome inflammatoire, un gonflement, dont la taille doit diminuer progressivement et disparaitre en moins d’un mois.La tique peut être porteuse de maladies transmissibles aux animaux de compagnie, d’où l’importance de lutter contre ces parasites. Attention, si la tique n’est pas retirée correctement, il existe un risque d’infection. La tique doit être retirée à l'aide d'un petit outil nommé Tire-Tique,nos ASV pourront vous montrer comment l'utiliser.Le risque principal ?  les tiques  sont vectrices de maladies graves.Les tiques peuvent inoculer des agents pathogènes dans le sang lors du repas sanguin. Les maladies transmises sont principalement :- La piroplasmose chez le chien : la présence de parasites à l’intérieur des globules rouges provoque une hémolyse. Les animaux atteints souffrent d’une anémie, avec de la fièvre et des urines foncées. - La maladie de Lyme chez le chien : maladie due à une bactérie dont les symptômes peuvent survenir plusieurs mois après la piqûre. Les animaux atteints souffrent de fièvre, de douleurs articulaires et musculaires, d’anorexie. - La mycoplasmose chez le chat : maladie due à des bactéries qui provoquent la destruction des globules rouges et une anémie. Le plus souvent les traitements de préventions contre les tiques sont regroupés avec le traitement anti puces.Ils existent sous forme de pipettes - colliers - comprimés. Nous sommes à votre service pour le choix du traitement le mieux adapté à votre animal. 

Que vous soyez propriétaire d'un chien ou d'un chat, qu'il vive en intérieur, reste au jardin ou se promène régulièrement en extérieur, AUCUN ANIMAL N'EST A L'ABRI D'UNE INFESTATION PAR LES PUCES. Ces parasites sont présents toute l'année, mais il est vrai que la période la plus favorable aux puces s’étend dans notre région d'Avril  à Novembre.Les puces peuvent entrainer de fortes démangeaisons, irriter la peau ou entrainer des maladies plus sérieuses.Il est ainsi indispensable de le traiter avant toute infestation. Les puces : ce qu’il faut savoir  1. L’animal est infesté par une puce adulte, qui va prendre un "repas sanguin" sur son hôte. 2. La puce se reproduit après 48 heures et peut pondre jusqu’à 50 œufs par jour pendant 3 semaines. 3. L’œuf tombe de l’animal, et éclot au bout de 3 à 5 jours pour devenir une larve.4. Les larves vont se propager partout dans l’environnement et se loger dans des lieux sombres et humides (moquettes, tapis, lames de parquet, voiture…). 5. La larve se transforme en cocon pouvant survivre dans l’environnement durant 6 à 8 mois. Une fois adulte, la puce cherche un animal pour se reproduire de nouveau. A savoir :  pour 5 puces trouvées sur votre animal, il y en a 95 dans votre maison !La contamination se fait généralement lorsque votre animal passe par des lieux contaminés par les œufs, les larves ou les puces adultes. Cependant, les puces peuvent utiliser les humains comme « transporteurs » en restant sur la peau ou les vêtements à court terme, en attendant de trouver un hôte animal. C'est pour cette raison que même un chat vivant en intérieur peut ainsi être infesté. Les puces : quelles conséquences ? Chez l’animal, il peut suffire d’une seule piqûre pour provoquer une dermatite allergique suite à des piqûres de puces (DAPP), une maladie de peau entraînée par des grattages violents, des léchages répétés, des pertes de poils. Les lésions peuvent survenir sur la croupe, le ventre et les flancs, ou entre les cuisses. Il peut également y avoir des complications internes lorsque la puce est porteuse d’œufs de vers comme le ténia, ou de bactéries. On pourra ainsi observer une infestation par les vers, ou encore une anémie infectieuse. L’animal montre des signes de faiblesse, de perte de poids ou de fièvre. Chez l’Homme, les puces entrainent rarement des complications hormis de fortes démangeaisons. En revanche, de par leur reproduction très rapide et leur cycle de vie, éradiquer les puces de l’environnement peut s’avérer être une tâche compliquée !. N’attendez pas que votre animal soit infesté avant de le traiter, il existe des traitements préventifs proposés sous différentes formes galéniques (Pipettes / colliers / comprimés). Demandez-nous conseil pour le choix du traitement le plus adapté possible pour votre animal.  Grattage dû à une infestation par les puces

CONSEIL N°1 : Puces et tiques !La période la plus favorable aux puces et tiques va de Mars à Octobre, même s'il y en a encore en hiver et que nous vous conseillons de traiter toute l'année. Il existe de nombreuses présentations possibles d'antipuces et d'anti tiques : les pipettes , les colliers, les comprimés. Demandez-nous conseil sur la solution la plus adaptée à votre animal .. CONSEIL N°2 : Attention à la LeishmanioseL'augmentation des températures rime avec l'arrivée des moustiques ... Demandez-nous une protection spéciale pour vos chiens contre les piqûres de phlébotomes, agents de la leishmaniose. La leishmaniose  est une maladie mortelle et incurable, très présente dans le bassin méditerranéen et transmissible à l'Homme. Différents moyens de prévention existent sous forme d'antiparasitaires spécifiques.  Il existe également un vaccin, injectable aux chiens dès l'âge de 6 mois.  Conseil : ne sortez pas votre chien en fin de journée, période de forte activité des moustiques. CONSEIL N°3 : le printemps, saison des allergiesComme les humains, les animaux peuvent développer des allergies aux pollens, aux piqûres de puces .... Si vous êtes témoins de léchages excessifs, grattages, éruptions cutanées, pertes de poils localisées, n'hésitez pas à nous consulter. L'une de nos vétérinaires pourra effectuer un examen dermatologique et vous conseiller le le traitement le plus adapté pour soulager votre animal. CONSEIL N°4 : une baignade sans dangerAttention à bien surveiller que votre chien ait la possibilité de remonter et de sortir de l'eau.  CONSEIL N°5 : Attention à certaines fleursMuguet, Azalée, Rhododendron, Lys, Laurier rose, Lila, peuvent être toxiques quand un animal les ingère. Selon la plante, la toxicité viendra des fleurs, des feuilles, des écorces, des baies, ou des tiges ... L'animal intoxiqué par une plante pourra montrer des signes variés tels que salivation excessive, vomissement, diarrhée, tremblements, apathie, fatigue,  fièvre. En cas de doute ne faites pas vomir ni boire votre animal mais conduisez-le à la clinique avec la plante possiblement incriminée qui permette d'orienter la vétérinaire vers un traitement adapté.Pour information il existe deux CNITV (Centre National d'Informations Toxicologiques Vétérinaire) dont voici les coordonnées téléphoniques :Lyon :   04 78 87 10 40       ou         Nantes :   02 40 68 77 40 CONSEIL N°6 : Les chenilles processionnairesDe Mars à fin Mai, les chenilles processionnaires du pin ou du chêne sont très urticantes et peuvent entre autre risque provoquer la nécrose de la langue du chien ou du chat qui les aurait léchées. Rincez abondamment et conduisez votre animal à la clinique. CONSEIL N°7 : Attention aux boules de poilsQui dit printemps dit mue printanière. Pour éviter qu'ils n'ingèrent trop de poils en se léchant (toilette du chat notamment) il faudra augmenter la fréquence du brossage des chats à poils longs ou mi-long. Le risque d'ingérer des boules de poils est d'occasionner des vomissements, de la constipation, voire dans des cas graves une occlusion intestinale. CONSEIL N°8 : Les produits de jardinageNous vous conseillons d'entreposer en hauteur tous les produits de type engrais, anti-limaces, fertilisants, désherbants, rodenticides, qui sont hautement toxiques pour vos animaux. Attention également aux objets de jardinage tranchants.CONSEIL N° 9 : Dilatation torsion lors des jeuxN'oublions pas non plus de ne pas faire faire d'exercice violent à son chien après les repas.CONSEIL N°10 : Dès la fin du printemps : éviter les épilletsC'est à l'approche de l'été qu'arriveront les épillets. Ils peuvent s'ancrer sous la peau au niveau des orifices (nez, vulve ou scrotum, zone inter digitée c'est à dire entre les doigts) chez nos chiens et chats et causer des infections ou abcès. Votre animal se lèche les pattes, a l'œil qui pleure, éternue, autant de signes que cette petite graminée se soit infiltrée sous sa peau. Nombre de ces soucis saisonniers peuvent facilement être évités. Toute l'équipe reste disponible pour vous conseiller afin que vos boules de poils et vous-même puissiez profiter de cette belle saison qu'est le printemps  en toute sérénité !   

Il est fréquent de se questionner sur l’intérêt d’un bilan sanguin au moment d’une chirurgie, d’autant plus quand l’animal est, à priori, sain.Cependant, celui-ci peut permettre la détection de maladies subcliniques, c’est-à-dire qui n’entrainent pas encore de symptômes cliniques mais provoquent déjà des modifications biologiques. A titre d’exemple : une augmentation des enzymes hépatiques peut nous orienter sur une hépatopathie subclinique. C’est d’autant plus vrai que certains individus appartiennent à des races à risques.D’autre part, un bilan sanguin préventif permet d’obtenir des valeurs de références individualisées. En effet, certains paramètres sanguins présentent une variabilité selon l’espèce, la race et le statut physiologique. Parfois, 1 ou 2 paramètres biologiques pourront se situer en dehors des valeurs de référence, sans que cela ne soit obligatoirement pathologique. Il est essentiel de s’en tenir à l’interprétation du praticien. Enfin, dans le cas d’une intervention chirurgicale à risque, des paramètres sanguins plus spécifiques peuvent vous être proposés afin d’anticiper des complications éventuelles. Un bilan sanguin de base est ainsi préconisé et selon l’indication chirurgicale, d’autres paramètres sanguins vous seront recommandés.N’hésitez pas à demander des compléments d’information auprès de notre équipe.

Eh oui ! Nos plus petits compagnons ont eux aussi accès à la prescription en phytothérapie, d’autant qu’ils y répondent merveilleusement bien !Ne vous étonnez pas des doses, qui pourraient sembler importantes en comparaison avec un chat ou un chien. En effet, la dose n’est pas proportionnelle à leur petite taille mais plutôt à leur métabolisme très rapide.Le post-opératoire est d’autant plus capital chez les NAC par leur fragilité et la phytothérapie trouve naturellement sa place pour favoriser la récupération en douceur.La prise de la préparation EPS se fait directement dans la bouche à l’aide d’une seringue. Il n’est pas nécessaire de diluer la dose, le goût est le plus souvent apprécié. Il est recommandé de se positionner derrière l’animal pour faciliter la prise et de glisser la seringue au niveau de la commissure des lèvres en alternant le côté droit puis le côté gauche à chaque prise. En cas d’agitation marquée, il est possible d’enrouler votre compagnon dans une serviette.La composition de le préparation EPS délivrée au moment de la sortie d’hospitalisation, comprend une synergie de 4 plantes : le Ginseng, la Gentiane, le Cassis et l’Hamamélis. En voici les bienfaits recherchés : • Le Ginseng est un stimulant agissant sur les systèmes nerveux et sanguin, idéal pour aider à une récupération chirurgicale.• La Gentiane stimule les sécrétions digestives aidant à la digestion et favorisant l’appétit. Elle limite la formation de gaz et aide à leur expulsion.• Le Cassis aux nombreuses vertus est utilisé ici pour ses propriétés diurétiques, toniques et drainant général.• L’Hamamélis est une plante hémostatique, astringente et antiinflammatoire.